Communes S...-Z...
Communes S...-Z...
Saint-Georges-de-la-Couée
Sujet : Saints sauroctones Patron de la Paroisse : St Georges mais en l’église de Saint-Fraimbault, figurent Ste Radegonde, Ste Catherine et St Michel.
Ouvrir pdf Sauroctone page : “Croyances”
Saint-Georges-de-la-Couée
Sujet : Société
Référence ; Pesche t.V p.211
Nous ignorons sur quoi est fondée l’épithète de mutins donnée dans la contrée aux habitants de cette commune.
Saint-Georges-de-la-Couée Saint-Fraimbault
Sujet : Lancelot du Lac
Référence : « Le Diable, la Vierge, les ermites et les saints » (Robert GUY)
En quittant l’abbaye de Micy avec Constantien, St Fraimbault (alors Frambourd) fonda d’abord les cellules d’un futur monastère à Saint-Georges de la Couée. Au hameau de Saint-Fraimbault-de-Gabrone il reste encore une très vieille chapelle du XI°s. Il partit ensuite fonder un monastère à Laciac (Lassay) où il fut enterré.
St Fraimbault serait, en littérature, Lancelot du Lac. Voir l’étude de René Bansard et Jean-Charles Payen p.57 à 61.
Saint-Georges-de-la-Couée Saint-Fraimbault
Sujet : Saint Fraimbault
Référence : Flohic t.I p.653
En l’église de Saint-Fraimbault, on prétend que le sarcophage situé sous l’autel serait celui du saint.
Saint-Georges-de-la-Couée Saint-Fraimbault
Sujet : eau – culte antique
Référence : Flohic t.I p.654
« La Fontaine-Marie », succédant aux étangs de Chênuère, avec lavoir sur le cours du ruisseau de St-Fraimbault.
Saint-Georges-de-la-Couée Saint-Fraimbault
Sujet : Médecine populaire
Référence : Cénomane n°7 p.33
Pour soulager les rhumatismes et la stérilité, on assaisonne les tisanes avec de la terre prélevée dans la sépulture nichée sous l’autel de la chapelle de Saint-Fraimbault.
Saint-Georges-de-la-Couée Saint-Fraimbault
Sujet : Légendes
Référence : «Revue du Maine», t.XXXVII, n° 92, 1957
La première chaire à prêcher de St Fraimbault - Le carrefour de l’ourse blanche - Le carrefour de la croix du Gros-Chêne - Wilmer l’entêté - La croix des trois paroisses - Le dormant de la pierre percée ou St Libérat : «Légendes du Pays de Gabrône» article de Paul Cordonnier-Détrie.
Saint-Georges-de-la-Couée Saint-Fraimbault
Sujet : Saint Fraimbault
Référence : Maine Roman (Marcel Deyres) p.105
Près d’un moulin, à 100 m de l’église actuelle, existait une chapelle Saint-Siviard, identique à la chapelle Saint-Fraimbault. Donc, deux sanctuaires ont existé en ce lieu retiré ! (Fouilles exécutées en 1908 par Julien Chappée)
Saint-Germain-d’Arcé
Sujet : Allée couverte d’Amnon, menhir de Chaudru ou de Haute-Vernelle et celui du bourg.
Référence : La Sarthe des origines à nos jours + Jacques Bellanger « Le Lude et son canton » + PESCHE, LEDRU...
A retrouver en un clic sur le menhir de la page : “Autres curiosités”
Le mégalithe déposé à l’entrée du village, route de Vaas, afin d’être sauvegardé, provient du moulin de Coulongé. Au temps de l’évangélisation de la contrée, une petite croix fut gravée sur ce menhir afin de christianiser le culte qui lui était porté.
Saint-Germain-d’Arcé
Sujet : Saints sauroctones Patron de la Paroisse : St Germain
Ouvrir pdf Sauroctone page : “Croyances”
Selon la légende, le site de l’église est l’endroit où l’on trouva à deux reprises la statue de Saint Germain miraculeusement transportée du hameau de Saint-Hippolyte, à une demi-lieu de là.
Saint-Germain-d’Arcé
Sujet : Surnoms
Référence : Pesche t.V p.241
« On donne aux habitants de St-Germain, le titre de Farauds, qui annonce plus de recherche dans la mise et dans les manières, que n’en mettent les autres habitants de la contrée ».
Saint-Jean-de-la-Motte
Sujet : Dolmen des Soucis, le Palet-de-Gargantua, Alignements 1, 2, 3, 4, menhirs de la Pierre-Potelée + x ?
Référence : Jacques Bellanger + PESCHE, LEDRU, VERDIER, DESTABLE
A retrouver en un clic sur le menhir de la page : “Autres curiosités”
Saint-Jean-de-la-Motte
Sujet : Pierres
Référence : La Sarthe des origines à nos jours
Menhirs “La Mère et la Fille” : 4,80 m et 2,30 m.
Trois menhirs subsistent sur les 50 encore alignés au XIX° s. (voir p 37)
Voir aussi les articles de Pesche t VI p.193/194 et Roger Verdier P. 74 à 78... qui proposent 4 séries d’alignements.
Saint-Jean-de-la-Motte
Sujet : “La Lande des Soucis et ses mégalithes”
Référence : “En parcourant le Pays de Longaulnay” Paul Cordonnier-Détrie – Revue du Maine 1956
... du temps de Pesche, on en comptait encore 25 en 3 groupes. En 1910, encore 9 : 5 à l’ouest et 4 à l’est qu’on retrouve encore en place. En réalité, il y en avait encore bien plus, de petites pierres placées comme des bornes jusqu’après la guerre de 1914. Nous les avons connues en 1924; depuis, elles ont disparu... La tradition paysanne prétend que : la pierre al’pousse, al’pouss’toujours ; n’ont point été plantées comm’ vous l’creyez; al’pouss’; c’est minime ! minime ! ça profite toujours depuis l’temps ! Al’datent ; Y en avait partout, al’montent ! minime ; la pierre al’pousse.
Saint-Jean-de-la-Motte
Sujet : Pierres
Référence : Pesche t.VI p.191 à 195
Description + analyse : « ainsi, La Mère et La Fille auraient dû figurer les deux astres principaux, le soleil et la lune ; le groupe le plus rapproché de ces pierres, de même que celui qui s’en éloigne davantage, des constellations… »
Saint-Jean-de-la-Motte
Sujet : Dames blanches
Référence : “A la recherche de l’insolite” p.317 (Bull. Soc. Ag. Sc. & Arts de 1974)
“Les dames blanches, ou reines blanches c’est à dire reines veuves, comme celle bienfaisante de St-Jean-de-la-Motte, qui défendait les pauvres gens du pays et leur avait concédé l’usage de la lande des Soucis”.
Saint-Jean-de-la-Motte
Sujet : 1829 Feuillée – Fouillée - Mai
Référence : Dic. Sarthe Pesche
“On y est aussi dans l’habitude de dresser, le jour des noces, près de la maison de la mariée, une feuillée ou berceau de verdure, orné de bouquets aux quatre angles, usage qui existe vingt lieues plus loin à la Ferté-Bernard. (p 303 du t.5)
Saint-Jean-de-la-Motte
Sujet : Pratique St Jean - eau
Référence : Pesche Dic.Sarthe; TV p.299
La fête patronale ou Assemblée fixée au dim. le plus rapproché du 24 Juin par arrêté du 1er mars 1807, continue d’avoir lieu comme anciennement, le jour même de la fête de St Jean : elle sert de foire, pour le louage des domestiques de la campagne. L’ancien usage des feux de St Jean, qui s’était perpétué dans cette localité où l’on allait processionnellement chaque année, la veille au soir du 24 Juin avec l’autorité municipale, allumer le feu de joie, disposé à une petite distance du bourg, a cessé depuis 6 ans. (soit 1823)
-Immersion dans fontaines, veille de la St Jean.
Saint-Jean-de-la-Motte
Sujet : Charivari (société)
Référence : Paysans du Maine P.150 (René Plessix)
Plainte du maire de St-Jean-de-la-Motte (lettre du 12 Pluviose an XI) : « Je vous instruis qu’un attroupement dans notre commune fait par des jeunes gens s’est formé depuis quelques jours en troublant le repos public de nuit et de jour au sujet d’un veuf qui s’est remarié, en lui faisant le charivari, étant armés de faulx, pelles, poêles et clairons et suivi de chansons et paroles infâmes, en les traitant d’imposteurs... »
Saint-Jean-de-la-Motte
Sujet : Saints sauroctones Patron de la Paroisse : St Jean Baptiste.
Ouvrir pdf Sauroctone page : “Croyances”
Saint-Pierre-de-Chevillé
Sujet ; saint guérisseur
Référence : Flohic t.I p.392
En l’église St-Pierre, statue de St Mammès vénéré pour ses vertus de guérisseur. Le sculpteur se serait inspiré des traits de Richelieu pour réaliser la statue de St Mammès.
Saint-Pierre-de-Chevillé
Sujet ; origine
Référence : web http://www.france-tourisme.com/paysdeloir/stpierredecheville/
A l’origine Saint Père, puis Saint Père de Cheville et enfin Saint Pierre de Chevillé, son surnom vient probablement du tir au Papegai où oiseau de bois chevillé, usage féodal du Moyen-Age (les Seigneurs faisaient tirer le Papegai à leurs serfs et vassaux pour les exercer à l’arc et à l’arbalète).
Saint-Pierre-du-Lorouer
Sujet ; Culte – usages
Référence : Pesche Dic.Sarthe; TV p.553
Assemblée le dimanche qui suit le 29 juin, jour où s’effectue le louage des domestiques. Une procession a lieu ce même jour, à laquelle les jeunes filles les plus sages, au choix du curé, réunies en confrérie, assistent vêtues de blanc, un cierge à la main, qu’elles viennent déposer ensuite à l’autel de St-Pierre.
Saint-Pierre-du-Lorouer
Sujet ; Surnom – usages
Référence : Pesche Dic.Sarthe; TV p.555
« On donne aux habitants le sobriquet de « Grézous », qui ne nous paraît rien signifier ; n’est-ce point plutôt celui de « Grigoux » ? Un travail trop pénible rend souvent morose et humoriste... »
Saint-Pierre-du-Lorouer
Sujet ; Ville disparue...
Référence : Pesche Dic.Sarthe; TV p.555
« Suivant la tradition locale, une ville aurait existé anciennement entre les bourgs de St-Pierre et de St-Vincent, dont ceux-ci auraient été comme les faubourgs. C’était la ville...
Saint-Vincent-du-Lorouer
Sujet : eau
Référence : Note de Paul Cordonnier-Détrie
Les noyés par suicide ne doivent pas entrer dans les églises, ni passer la porte du cimetière (passer par-dessus le mur de ce dernier ou par une ouverture dans un coin non bénit).
Saint-Vincent-du-Lorouer
Sujet : Fontaine de l’Hermitière
Référence : Dic. Pesche t.V p.652-653
Historique de l’établissement de la guinguette en 1834.
Saint-Vincent-du-Lorouer
Sujet : 1839, Orage et superstitions
Référence : Dictionnaire de J.R. Pesche t.V p.653-654
Ouvrir le pdf “orages en 1839” dans la page : “Peurs & Rumeurs”
Saint-Vincent-du-Lorouer
Sujet : Usages féodaux coutumes
Référence : Dictionnaire de J.R. Pesche TV p.652
Jour de la Quasimodo : obligation pour les jeunes mariés d’aller sauter le ruisseau des Roches
+ petits gâteaux (des Rouinsolles) jetés aux enfants
Saint-Vincent-du-Lorouer
Sujet : eau
Référence : Note de Paul Cordonnier-Détrie
Fontaine alimentant des bains gallo-romains.
Saint-Vincent-du-Lorouer
Sujet : étymologie
Référence : “Découvrir la Sarthe” (OTSI-72) p.68
Le nom de Lorouër tirerait son origine du latin orare qui signifiait “prier”. Cette étymologie semble indiquer l’existence d’un oratoire en ces lieux. La patois local a déformé le mot latin en lorouër avec un charme naïf.
Saint-Vincent-du-Lorouer
Sujet : Trésor
Dans la forêt de Bercé, au fond de la Vallée de l’Hermitière se trouve le « trou de l’ermite ». Un veau d’or y serait caché. Le souterrain reliait selon la légende les châteaux avoisinants. Voûte détruite aujourd’hui, située près de la ligne de la Jument Blanche.
Sarcé
Sujet : Saints sauroctones Patron de la Paroisse : St Martin.
Ouvrir pdf Sauroctone page : “Croyances”
Savigné-sous-le-Lude
Sujet : eau - Loup
Référence : Note de Paul Cordonnier-Détrie + Pesche t.3 p.47 + Flohic t.I p.741
Fontaine St Loup. Censée guérir des maladies de peau…
St loup, invoqué dans le Maine contre la peur (Pesche).
Le patron de la paroisse est St Loup. (voir pratique locale p.741)...
Savigné-sous-le-Lude
Sujet : Des caves mystérieuses
Référence : PESCHE, t.VI, p. 83
A ce qu’on dit, une ancienne communauté de femmes aurait existé à l’Aunay-Lubin, Launay aurait été la ferme, Lubin le monastère. Entre les deux, au milieu d’une pièce de terre, il se trouve une cave voûtée dont le mortier est d’une extrême dureté. Recouverte de terre en labour, cette cave a 23,33 m. de long, 1,50 m. de large et 2,167 m. de hauteur. On assure avoir vu à côté, une petite ouverture, qui est celle d’une autre cave, beaucoup plus grande. On pense aussi que la ferme antique de la Besnardière, a été un ancien monastère.
Thoiré-sur-Dinan
Sujet : Loup
Référence : «Découvrir la Sarthe» (OTSI-72) p.76
L’église conserve le tendre souvenir de la petite Marie Vérité. En 1968, on a retrouvé, inhumé dans la nef, son squelette garni de sa chevelure blonde. Cette enfant, morte le 30 mai 1753, à l’âge de 8 ans, avait été attaquée par un des derniers loups de la forêt de Bercé lors d’une procession.
Thoiré-sur-Dinan
Sujet : Loup
Référence : « La Vie Mancelle et Sarthoise» n°367 p.14
Au matin du 29 mai 1793, une petite fille de 8 ans marchant en tête de la procession des Rogations est attaquée par un loup. Affolement, intervention un rien tardive, le loup est mis en fuite mais l’enfant meurt de ses blessures. Trois cents personnes traquent l’animal, en vain.
Thoiré-sur-Dinan
Sujet : Vocabulaire insolite
Référence : « Moulins de la Sarthe » n°18 p.17
Moulin de Quincampoix : du vieux français « cui qu’en poist », qui en pèse. Désignation appliquée ironiquement au meunier, le paiement de la mouture étant prélevé en nature sur les sacs apportés. Il devait peser, prendre, un peu plus que son dû.
Thoiré-sur-Dinan
Sujet : Pierres insolites
Référence : Pesche t.6, p.328
Entre le bourg et Flée, on remarque une pierre debout de 2,33 m de hauteur. On peut douter que ce bloc de l’espèce de roche appelée perron dans le pays, ait été placé verticalement de la main de l’homme.
Thorée-les-Pins
Sujet : Culte antique au dieu Thor
Référence : Flohic t.I p.743
Ouvrir page : “Croyances”
Thorée-les-Pins
Sujet : Appellation “les pins”
Référence : Jacques Bellanger « Le Lude et son canton »
Ouvrir page : “Croyances”
Thorée-les-Pins
Sujet : La Pierre Michelette. et les mégalithes du Pays Vallée du Loir
Référence : «La vallée du Loir des Origines au VI°s. p.109 (J.L. Destable)
A retrouver en un clic sur le menhir de la page : “Autres curiosités”
Thorée-les-Pins
Sujet : 60 000 cavaliers dans la BLANCHE-LANDE
Référence : Flohic t.I p.743
Ouvrir page : “Mémoire des landes”
Thorée-les-Pins
Sujet : Pierre – Le pas de la mule..
Référence : Flohic t.I p.743
Ouvrir page : “Autres curiosites”
Thorée-les-Pins
Sujet : St Germain Saints sauroctones
Ouvrir page : “Croyances”
Vaas
Sujet : Loir – météo
Référence : Chronique paroissiale
Le 25 novembre 1788, jour de Sainte Catherine, la gelée a commencée, elle est devenue plus intense de jour en jour ; la rivière était prise à la Saint André ; le 3 décembre, il tomba une abondante neige ; le 5 décembre on passa déjà sur la rivière glacée ; quelques jours après on passa des charrettes et des chevaux chargés, comme dans une grande route, etc. Il n’est pas pas d’exemple d’un hiver aussi long, aussi froid. La glace était épaisse de quinze à dix huit pouces. Les plus grandes rivières et même les fleuves, gelèrent : la Loire, la Seine, le Rhin, la Tamise, et le Rhône furent absolument pris de glace. A Paris, le 31 décembre le thermomètre descendit à 18 degrés et demi au dessous de la congélation. le dégel se manifesta vers le 25, 26 et 27 janvier 1789. La débâcle de la Loire fit beaucoup de ravages ; les glaces s’accumulèrent par une crue de neuf pieds, et à un tel point qu’elles arrêtèrent le cours de La Beuve ; quatre arches du beau pont de Tours s’écroulèrent. Mon pont sur la rivière du Loir, au bas de mon jardin, fut endommagé ; quelques tanneries furent renversées , etc..
Vaas
Sujet : Dolmen de Pierre-Couverte, menhir du Petit-Perray
Référence : Jacques Bellanger« Le Lude et son canton » + PESCHE, LEDRU, VERDIER
A retrouver en un clic sur le menhir de la page : “Autres curiosités”
Vaas
Sujet : Saints sauroctones Patron de la Paroisse : St Georges
Ouvrir pdf Sauroctone page : “Croyances”
Vaas
Sujet : Saint Julien
Référence : LEGEAY (p. 84)
Pour LEGEAY (p. 84) saint Julien a ressuscité un enfant « dans la contrée de Vaas », et a consacré l’église de la paroisse, originellement à saint Georges. L’église initiale a disparu, et sa localisation est douteuse (près du Loir, ou au hameau des Halles).
Vaas
Sujet : légende d’un fondation
Référence : “Découvrir la Sarthe” (OTSI-72) p.89 et Pesche t.VI, p.415
La légende raconte que l’abbaye de Vaas fut construite sur les terres du traître Ganelon qui livra le comte Roland aux basques. voir page “Mythes & legendes”
Villaines-sous-Lucé
Sujet : Menhirs de Pierre-Aigüe, d’Arthé, de Corbuon, de Pierre-Lée
Référence : Flohic t.I p.659 + LEPART
A retrouver en un clic sur le menhir de la page : “Autres curiosités”
Villaines-sous-Lucé
Sujet : Fontaine St Sulpice de la Coudre
Référence : Note de Paul Cordonnier-Détrie et Pesche, t.V1, p.530
A la Fontaine St Sulpice de la Coudre viennent boire les goutteux ; il y a là une chapelle jadis très fréquentée ; on y vient encore à l’époque de la Saint-Jean, bien que la messe n’y soit plus célébrée. - P.C.D. 1935
Villaines-sous-Lucé
Sujet : Fontaine de la Herse
Référence : Note de Paul Cordonnier-Détrie
Fontaine de la Herse : Il y a aussi une fontaine de la Herse entre Bellême et Mortagne. Une pierre de la bordure y porte le mot APHRODISIUM, puis une autre : DÜS INFERIS / VENERI / MARTI ET / MERCURIO / SACRUM.
Villaines-sous-Malicorne
Sujet : arbre – “Le Chêne au Diable”
Référence : http://www.tourisme-paysflechois.fr
Ouvrir page : “Autres curiosites”
Villaines-sous-Malicorne
Sujet : Motte - Trésor – “Les forgerons invisibles de La Roche-Simon”
Référence : Pesche t6 page537
Ouvrir page : “Autres curiosites”
Villaines-sous-Malicorne
Sujet : St Germain Saints sauroctones
Ouvrir page : “Croyances”
Villaines-sous-Malicorne
Sujet : Notre-Dame de l’Aubinière
Référence : Panneau touristique
Ouvrir page : “Croyances”
Vouvray-sur-Loir
Sujet : Saints sauroctones Patron de la Paroisse : St Martin.
Ouvrir pdf Sauroctone page : “Croyances”
Vouvray-sur-Loir
Sujet : Saint Hubert et les morsures de chiens
Référence : Dic. Pesche t.VI p.615
En l’église de Vouvray, une chapelle est sous le vocable de St Hubert où ce saint est invoqué pour être préservé de la morsure des chiens enragés qui, par son intervention, n’ont jamais fait de victimes dans la commune assure la tradition.
Yvré-le-Polin
Sujet : Saint sauroctone Patron de la paroisse : St Martin – avec assemblée le dimanche le plus proche du 10 Juillet, fête de la translation des reliques de ce saint évêque.
Ouvrir pdf Sauroctone page : “Croyances”
Yvré-le-Polin
Sujet : Saints guérisseurs
Référence : Dr. Lepart, (Bull. Soc.Ag. Sc. & Arts de la Sarthe de 1974 p.394)
Ste-Barbe, vierge de Nicodémie, se fête le 4 décembre. C’est la plus invoquée dans nos régions contre la foudre et la mort subite.
Yvré-le-Polin
Sujet : Curiosité
Mesure à grain du XIIème siècle utilisée comme bénitier en l’église.
Yvré-le-Polin
Sujet : Le menhir et le diable
Référence : MARTINEAU, Maine-Libre du 29 février 1972
« Près de la Chouanne, se trouve le menhir dit la ‘Pierre Gagne’ ou ‘Gaigné’. On trouve dans la tradition populaire le récit de la colère du démon provoqué par un laboureur qui avait déclaré à haute voix et en pleine assemblée que la Sainte Vierge pourrait, si elle le voulait, faire voler la grosse pierre comme un oiseau. Relevant le défi, le diable avait tenté un jour de soulever le dolmen mais Marie devait veiller sans doute, car alertée par le brave laboureur, elle avait fait trébucher le diable sur une racine et celui-ci s’était enfoncé dans les profondeurs de la terre, écrasé par le dolmen qui, depuis cette époque, est resté aux trois quarts renversé. »